Pour les rires, pour les larmes, pour tous ces matins, nos calins, mon chagrin. merci pour tous ces instants partagés ou rêvés. Merci pour ce que tu m'as donné, appris, repris, volé. Merci pour ce qui est, ce qui fut, ce qui aurait pu être. Merci d'être et d'avoir été.

Merci pour tous ces mots que tu m'as inspiré, pour cet endroit, né de nous, de cette envie de toi. Merci pour tous ces souvenirs, tous ces lieux qui résonnent si différemment aujourd'hui dans ma vie. Merci, à la femme, à la vie, merci d'être et d'avoir été la femme de ma vie.

Va ! Vole ! Et que le bonheur vous emporte aussi loin, aussi fort, aussi haut que celui de t'avoir connue, reconnue, m'emporte encore aujourd'hui.

L'absence ce n'est rien. Une table posée contre l'océan du silence, de l'encre et du papier. Tout est très fort, la nuit s'efface ou la nuit vient, je n'ai pas peur. La tête un peu penchée, je ne regarde que la feuille de papier. Les mots s'envolent et tu es là.
L'absence ce n'est rien – un peu de temps très pur pour inventer demain.

Philippe Delerm

Plus qu'une image, qu'une photo, j'aurai aimé peindre ce tableau.

Le besoin d'aller dormir, la raison qui nous pousse à partir et cette envie presque irrésistible de rester là, encore, accroché, emporté par la musique qui vous prend, vous balance.

Encore un instant...

Stephan Montangero est valaisan ! Jusque là, rien de bien extraordinaire me direz-vous... Stephan Montangero est percussionniste ! Là déjà, on se dit ah... tiens, un musicien ! Stephan Montagero a été apprendre l'art du tabla, une paire de tambours ou chaque fut est joué par une main en Inde, durant dix ans ! C'est à ce moment là que je me suis dit que cet homme là, tranquille autant que réservé, avait quelque chose à dire, quelque chose à nous raconter. Et je ne me suis pas trompé ! Je me réjouis d'aller visiter prochainement sa caverne d'Alibaba, une collection de plusieurs milliers de percussions, venues des quatre coins du monde !

Décidément, il se passe toujours quelque chose sur la terre ! Caramba

TOSCA, ST GERMAIN, RITHMA, PRAFUL, MINUS 8, KOOP, DZIHAN & KAMIEN, BOOZOO BAJOU et tant et tant les autres, artistes, musiciens, électro, jazz, bref, à vous tous, les talents que j'aime...

J'adorais, jusqu'à aujourd'hui, écouter votre musique bien sur mais plus que tout, la faire connaître parfois, la faire partager, toujours. J'essaie, quand il m'est donné de le faire avec des amis, des collègues, de leur donner à écouter ces albums, achetés légalement, ces titres téléchargés légalement, toute cette musique que j'aime tant.

J'avais donc pensé par plaisir et sans aucune intention commerciale, de diffuser mes titres préférés sur ce site, afin que d'autres puissent être amenés à découvrir et aimer votre musique.

Seulement voilà ! Il semble que partager son plaisir soit devenu chose interdite. On me demande de supprimer tous les titres diffusés sur Radio-el-mundo sous peine de me voir interdire tout simplement de publier et d'héberger mon site.

Qu'une radio commerciale paie des droits d'auteurs, cela me semble parfaitement normal, sachant que la diffusion de musique lui permet de gagner de l'argent. Qu'une radio commerciale sur le Net en fasse autant, là encore, quoi de plus évident. Mais que par simple plaisir, un individu se voie interdire de diffuser librement sur le net un titre acheté par lui me semble pour le moins contreproductif. Se verra-on bientôt interdire d'amener son lecteur CD portable sur la plage, sous prétexte que d'autres personnes pourraient alors écouter un disque sans l'avoir précédemment acheté ? Quel mal y a-t-il à partager simplement ce que l'on aime, de manière même planétaire, sachant que les seuls éventuels gagnants seront les artistes eux-mêmes et bien entendu leurs foutues putain de maisons de disques, pompeuses de fric.

J'enrage !

Je mets donc fin, contraint et forcé à Radio-el-mundo. Dommage. Ici, on aimait simplement la musique.